Je me noie dans l’horizon de ton corps, dunes de sables émouvants. Ton sourire cristallin résonne sous les étoiles pliantes, et font chavirer les peaux vendues des ours scolaires venant se jeter à nos pieds. Si seulement cela pouvait être l’hiver, ou l’été. Nos corps sont trop solides pour l’infini, qui s’enfuit déjà à tire d’ailes entre nos doigts emmêlés.
Impitoyablement, nous sommes orphelins de l’instant où nous nous sommes embrasés.
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